Nous avions de la chance vendredi de pouvoir rencontrer Mme Rochelin, une nouvelle prof d'histoire ici à Newton North qui a été élevée en Haïti et qui a aussi habité au Sénégal pendant une année. Elle nous a parlé à propos de plusieurs aspects de la vie en Haïti, et c'était super intéressant. Elle me semble très intelligente et très passionnée, et j'ai aimé sa capacité de parler à propos de son pays dans une façon à la fois fière et informée.
L'aspect de ce que Mme Rochelin a dit qui m'a beaucoup interessé, c'était la communauté. Elle a remarqué qu'en Haïti, il y a un plus grand sens de communauté qu'ici. Les voisins prennent soin des enfants des autres, tout le monde aime rigoler avec les autres, et tout le monde connait tout le monde. Par contre, aux États-Unis, c'est comme si personne ne connaît personne d'autre.
Je suis d'accord avec Mme Rochelin. Je ne sais pas si ça est vrai dans tout le pays, mais j'ai remarqué qu'ici, tout le monde s'interesse à soi-même avant de s'interesser aux autres. Dans la ville, on marche très vite et on essaie de ne pas regarder les autres, qui sont tous des étrangers. Si on sourit à quelqu'un dans la rue qu'on ne connaît pas, c'est étrange, anormal. Mme Rochelin a explique le communauté dans son voisinage en disant que ses parents pouvaient laisser les enfants jouer dans la rue ou dans la cour sans s'inquiéter parce que tous les voisins, en voyant les enfants, diraient aux parents "j'ai vu ton petit là-bas dans la rue; est-ce que tu sais qu'il est là?" On prend soin des autres sans que les autres ne le demandent. Dans mon voisinage, par contre, on dit bonjour peut-être aux voisins, mais l'attitude est vraiment que tout le monde doit s'occuper de ses propres affaires. Si on disait à quelqu'un que son enfant était dehors, on considérait ça comme étrange, ou même impoli.
Je ne sais pas d'ou vient cette différence culturelle, mais je reconnais que ça a du être très difficile pour Mme Rochelin de comprendre quand elle est venue aux Etats-Unis quand elle avait 12 ans. Et j'admire ça aussi. Ici on cherche des communautés plus petits à l'école, aux clubs, aux équipes sportives, out dans des églises ou des temples, mais on manque vraiment le sens de communauté en toute simplicité comme en Haïti.
L'aspect de ce que Mme Rochelin a dit qui m'a beaucoup interessé, c'était la communauté. Elle a remarqué qu'en Haïti, il y a un plus grand sens de communauté qu'ici. Les voisins prennent soin des enfants des autres, tout le monde aime rigoler avec les autres, et tout le monde connait tout le monde. Par contre, aux États-Unis, c'est comme si personne ne connaît personne d'autre.
Je suis d'accord avec Mme Rochelin. Je ne sais pas si ça est vrai dans tout le pays, mais j'ai remarqué qu'ici, tout le monde s'interesse à soi-même avant de s'interesser aux autres. Dans la ville, on marche très vite et on essaie de ne pas regarder les autres, qui sont tous des étrangers. Si on sourit à quelqu'un dans la rue qu'on ne connaît pas, c'est étrange, anormal. Mme Rochelin a explique le communauté dans son voisinage en disant que ses parents pouvaient laisser les enfants jouer dans la rue ou dans la cour sans s'inquiéter parce que tous les voisins, en voyant les enfants, diraient aux parents "j'ai vu ton petit là-bas dans la rue; est-ce que tu sais qu'il est là?" On prend soin des autres sans que les autres ne le demandent. Dans mon voisinage, par contre, on dit bonjour peut-être aux voisins, mais l'attitude est vraiment que tout le monde doit s'occuper de ses propres affaires. Si on disait à quelqu'un que son enfant était dehors, on considérait ça comme étrange, ou même impoli.
Je ne sais pas d'ou vient cette différence culturelle, mais je reconnais que ça a du être très difficile pour Mme Rochelin de comprendre quand elle est venue aux Etats-Unis quand elle avait 12 ans. Et j'admire ça aussi. Ici on cherche des communautés plus petits à l'école, aux clubs, aux équipes sportives, out dans des églises ou des temples, mais on manque vraiment le sens de communauté en toute simplicité comme en Haïti.